Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Belladonna (en salles le 15/07/2016)
Yamamoto Yamamoto
« Une petite pépite que tout fan de cinéma d'animation se doit de visionner. Avec de la drogue, c'est peut-être encore mieux ! »
« Une belle résurrection, toujours aussi déconcertante. »
Belle (en salles le 29/12/2021)
Hosoda Mamoru
« Hosoda embrasse une foule d'esthétique dans l'animation pour toucher au plus près l'émotion. Grande œuvre sur le metaverse, Belle offre aussi un conte hautement moral et social sur l'acceptation et la faculté en chacune et chacun à cultiver la beauté des autres. »
« Plusieurs axes (le conte, la chronique sociale, le récit adolescent) qui ont parfois du mal à mêler harmonieusement mais la beauté formelle et le final chargé d'émotion parviennent en définitive à nous cueillir. »
« Hosoda ne se plantera jamais totalement mais on sort frustré de ce film qui court trop de lièvres à la fois, en mettant en scène un univers virtuel un poil fade. Dommage. »
« La thématique "La Belle et la Bête" presque superflue gâche un tout petit peu l’ensemble, mais c’est peu de chose face au tourbillon visuel, musical et émotionnel qu’offre Hosoda. »
« Un sujet ô combien intéressant pour une exécution molle. »
« De belles trouvailles graphiques, esthétiques et narratives au service d'un récit convenu, où l'on peine à trouver un semblant de point de vue et d'aspérité sur ce qu'il décrit. On a connu Hosoda plus impliqué, engagé ou personnel : c'est la première fois que sa virtuosité formelle semble n'avoir rien à nous dire. »
Bends (Cannes 2013)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Bends (en salles le 15/07/2015)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Between the Seasons (FFCP 2019)
Kim Junsik
« Un traitement sensible de son sujet et des comédiennes formidables mais des problèmes de rythme et une musique omniprésente qui réduit l'impact du film. »
Big Fish & Begonia (FCCF 2017)
Liang Xuan et Zhang Chun
« Romance, mythologie chinoise et force de la destinée s'entrecroisent dans un spectacle envoûtant et formellement somptueux qui transcende l'évidente influence Ghibli. »
« Influencé par Ghibli, Big Fish & Begonia parvient à se doter d'une identité propre et nous fait découvrir une mythologie chinoise teintée de romance. La révélation ! »
Birthday (FFCP 2019)
Lee Jong-un
« Touchant mélodrame sur le deuil, le film se repose un peu trop sur la force de ses acteurs et sur des procédés tire-larmes. L'effet cathartique est néanmoins efficace, pas un œil sec dans la salle. »
« Une grosse couche de pathos qui fonctionne assez bien, car la construction des personnages est tout à fait bonne. »
Black Coal (en salles le 11/06/2014)
Diao Yinan
« Mise en scène distanciée d'une froideur extrême qui efface, malheureusement, les personnages et l'attachement qu'on pouvait avoir pour eux. »
« Un film tentaculaire et glaçant. »
Black Stone (en salles le 27/07/2016)
Roh Gyeong-tae
Blade of the Immortal (Cannes 2017)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (Netflix)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (PIFFF 2017)
Mikke Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blind Detective (Cannes 2013)
Johnnie To
« De l'houmour cantonais bien lourd, mais bourré d'idées, ça fait toujours plaisir ! »
Blind Massage (Cannes 2014)
Lou Ye
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blind Massage (FCCF 2015)
« Un film sensoriel, voire sensuel. Une belle réussite. »
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blue Giant (en salles le 06/03/2024)
Tachikawa Yuzuru
« D'une efficacité remarquable, direct et droit au but, le film verse dans le mélo pour mieux servir l'émotion d'une musique sublimée par une animation virtuose. Hiromi Uehara fait du magnifique travail à la composition. »
« Esprit shonen à la sauce jazzy mélangée à un incroyable travail sensitif et d'abstraction pour exprimer la fièvre de l'euphorie musicale. »
« Le récit classique Seinen du manga original se retrouve ici magnifié par une mise en scène étourdissante et euphorique, pour un résultat aussi émouvant que généreux, à la passion musicale communicative. »
« Si on peut lui reprocher de ne pas bousculer le traditionnel récit de dépassement de soi à la japonaise, le film se révèle très généreux et son atmosphère jazzy s'avère particulièrement chaleureuse. »
« Sur un canevas classique de Nekketsu, le film décolle dans les scènes de jazz, véritable "solos" des animateurs, qui emportent le film bien au-delà de son programme initial font oublier la rigidité de l'intégration des effets numériques. »
Blue Summer (A Song Sung Blue) (en salles le 20/03/2024)
De Geng Zihan
« 2 films en un se côtoient : l'adaptation narrative du manga, déclinant les étapes standard du shônen, et une véritable ode au jazz qui essore, jusqu'à la moelle, les facultés plastiques du japanime d'en sourdre la liberté profonde. »
« Malgré une jolie photo et une héroïne attachante, un coming of age lesbien trop timoré et prévisible. »
« Film délicat et feutré sur la découverte de l'amour et le rapport à l'adolescence. La plastique de l'image est de très haut niveau. »
Broken (FFCP 2014)
Lee Jeong-ho
« Un scénario typiquement coréen qui mêle viol et vengeance. Pour autant, Broken est plus fin qu'il n'y paraît et pose de nombreuses questions aux spectateurs. »
Brotherhood of Blades (FCCF 2015)
Lu Yang
Ça tourne à Séoul ! Cobweb (en salles le 08/11/2023)
Kim Jee-Woon
« Je trouve le faux film dans le film meilleur que le vrai. »
« Kim Jee-woon témoigne, une fois de plus, de son talent de grand formaliste. Et même s'il rate à plusieurs reprises l'occasion d'explorer en profondeur ses sujets, il réussit son jeu de chausse-trappe pirandellien pour témoigner des puissances politiques du cinéma. »
« "La Nuit américaine" façon coréenne à l'aune des spécificités sociales, culturelles et politiques du pays servie par une mise en scène virtuose et un casting survitaminé. »
« Kim Jee-Woon n’a rien a prouver derrière la caméra et livre un divertissement drôle et rythmé. Dommage que le scenario peine à traiter toutes les passionnantes pistes narratives qu’offre le sujet »
« Une tournage qui tourne au drame dans une comédie qui patauge. »
« Une remise en question salutaire pour Kim Jee-woon après sa catastrophique version de Jin-Roh. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Belladonna (en salles le 15/07/2016)
Yamamoto Yamamoto
« Une petite pépite que tout fan de cinéma d'animation se doit de visionner. Avec de la drogue, c'est peut-être encore mieux ! »
« Une belle résurrection, toujours aussi déconcertante. »
Belle (en salles le 29/12/2021)
Hosoda Mamoru
« Hosoda embrasse une foule d'esthétique dans l'animation pour toucher au plus près l'émotion. Grande œuvre sur le metaverse, Belle offre aussi un conte hautement moral et social sur l'acceptation et la faculté en chacune et chacun à cultiver la beauté des autres. »
« Plusieurs axes (le conte, la chronique sociale, le récit adolescent) qui ont parfois du mal à mêler harmonieusement mais la beauté formelle et le final chargé d'émotion parviennent en définitive à nous cueillir. »
« Hosoda ne se plantera jamais totalement mais on sort frustré de ce film qui court trop de lièvres à la fois, en mettant en scène un univers virtuel un poil fade. Dommage. »
« La thématique "La Belle et la Bête" presque superflue gâche un tout petit peu l’ensemble, mais c’est peu de chose face au tourbillon visuel, musical et émotionnel qu’offre Hosoda. »
« Un sujet ô combien intéressant pour une exécution molle. »
« De belles trouvailles graphiques, esthétiques et narratives au service d'un récit convenu, où l'on peine à trouver un semblant de point de vue et d'aspérité sur ce qu'il décrit. On a connu Hosoda plus impliqué, engagé ou personnel : c'est la première fois que sa virtuosité formelle semble n'avoir rien à nous dire. »
Bends (Cannes 2013)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Bends (en salles le 15/07/2015)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Between the Seasons (FFCP 2019)
Kim Junsik
« Un traitement sensible de son sujet et des comédiennes formidables mais des problèmes de rythme et une musique omniprésente qui réduit l'impact du film. »
Big Fish & Begonia (FCCF 2017)
Liang Xuan et Zhang Chun
« Romance, mythologie chinoise et force de la destinée s'entrecroisent dans un spectacle envoûtant et formellement somptueux qui transcende l'évidente influence Ghibli. »
« Influencé par Ghibli, Big Fish & Begonia parvient à se doter d'une identité propre et nous fait découvrir une mythologie chinoise teintée de romance. La révélation ! »
Birthday (FFCP 2019)
Lee Jong-un
« Touchant mélodrame sur le deuil, le film se repose un peu trop sur la force de ses acteurs et sur des procédés tire-larmes. L'effet cathartique est néanmoins efficace, pas un œil sec dans la salle. »
« Une grosse couche de pathos qui fonctionne assez bien, car la construction des personnages est tout à fait bonne. »
Black Coal (en salles le 11/06/2014)
Diao Yinan
« Mise en scène distanciée d'une froideur extrême qui efface, malheureusement, les personnages et l'attachement qu'on pouvait avoir pour eux. »
« Un film tentaculaire et glaçant. »
Black Stone (en salles le 27/07/2016)
Roh Gyeong-tae
Blade of the Immortal (Cannes 2017)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (Netflix)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (PIFFF 2017)
Mikke Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blind Detective (Cannes 2013)
Johnnie To
« De l'houmour cantonais bien lourd, mais bourré d'idées, ça fait toujours plaisir ! »
Blind Massage (Cannes 2014)
Lou Ye
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blind Massage (FCCF 2015)
« Un film sensoriel, voire sensuel. Une belle réussite. »
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blue Giant (en salles le 06/03/2024)
Tachikawa Yuzuru
« D'une efficacité remarquable, direct et droit au but, le film verse dans le mélo pour mieux servir l'émotion d'une musique sublimée par une animation virtuose. Hiromi Uehara fait du magnifique travail à la composition. »
« Esprit shonen à la sauce jazzy mélangée à un incroyable travail sensitif et d'abstraction pour exprimer la fièvre de l'euphorie musicale. »
« Le récit classique Seinen du manga original se retrouve ici magnifié par une mise en scène étourdissante et euphorique, pour un résultat aussi émouvant que généreux, à la passion musicale communicative. »
« Si on peut lui reprocher de ne pas bousculer le traditionnel récit de dépassement de soi à la japonaise, le film se révèle très généreux et son atmosphère jazzy s'avère particulièrement chaleureuse. »
« Sur un canevas classique de Nekketsu, le film décolle dans les scènes de jazz, véritable "solos" des animateurs, qui emportent le film bien au-delà de son programme initial font oublier la rigidité de l'intégration des effets numériques. »
Blue Summer (A Song Sung Blue) (en salles le 20/03/2024)
De Geng Zihan
« 2 films en un se côtoient : l'adaptation narrative du manga, déclinant les étapes standard du shônen, et une véritable ode au jazz qui essore, jusqu'à la moelle, les facultés plastiques du japanime d'en sourdre la liberté profonde. »
« Malgré une jolie photo et une héroïne attachante, un coming of age lesbien trop timoré et prévisible. »
« Film délicat et feutré sur la découverte de l'amour et le rapport à l'adolescence. La plastique de l'image est de très haut niveau. »
Broken (FFCP 2014)
Lee Jeong-ho
« Un scénario typiquement coréen qui mêle viol et vengeance. Pour autant, Broken est plus fin qu'il n'y paraît et pose de nombreuses questions aux spectateurs. »
Brotherhood of Blades (FCCF 2015)
Lu Yang
Ça tourne à Séoul ! Cobweb (en salles le 08/11/2023)
Kim Jee-Woon
« Je trouve le faux film dans le film meilleur que le vrai. »
« Kim Jee-woon témoigne, une fois de plus, de son talent de grand formaliste. Et même s'il rate à plusieurs reprises l'occasion d'explorer en profondeur ses sujets, il réussit son jeu de chausse-trappe pirandellien pour témoigner des puissances politiques du cinéma. »
« "La Nuit américaine" façon coréenne à l'aune des spécificités sociales, culturelles et politiques du pays servie par une mise en scène virtuose et un casting survitaminé. »
« Kim Jee-Woon n’a rien a prouver derrière la caméra et livre un divertissement drôle et rythmé. Dommage que le scenario peine à traiter toutes les passionnantes pistes narratives qu’offre le sujet »
« Une tournage qui tourne au drame dans une comédie qui patauge. »
« Une remise en question salutaire pour Kim Jee-woon après sa catastrophique version de Jin-Roh. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Belladonna (en salles le 15/07/2016)
Yamamoto Yamamoto
« Une petite pépite que tout fan de cinéma d'animation se doit de visionner. Avec de la drogue, c'est peut-être encore mieux ! »
« Une belle résurrection, toujours aussi déconcertante. »
Belle (en salles le 29/12/2021)
Hosoda Mamoru
« Hosoda embrasse une foule d'esthétique dans l'animation pour toucher au plus près l'émotion. Grande œuvre sur le metaverse, Belle offre aussi un conte hautement moral et social sur l'acceptation et la faculté en chacune et chacun à cultiver la beauté des autres. »
« Plusieurs axes (le conte, la chronique sociale, le récit adolescent) qui ont parfois du mal à mêler harmonieusement mais la beauté formelle et le final chargé d'émotion parviennent en définitive à nous cueillir. »
« Hosoda ne se plantera jamais totalement mais on sort frustré de ce film qui court trop de lièvres à la fois, en mettant en scène un univers virtuel un poil fade. Dommage. »
« La thématique "La Belle et la Bête" presque superflue gâche un tout petit peu l’ensemble, mais c’est peu de chose face au tourbillon visuel, musical et émotionnel qu’offre Hosoda. »
« Un sujet ô combien intéressant pour une exécution molle. »
« De belles trouvailles graphiques, esthétiques et narratives au service d'un récit convenu, où l'on peine à trouver un semblant de point de vue et d'aspérité sur ce qu'il décrit. On a connu Hosoda plus impliqué, engagé ou personnel : c'est la première fois que sa virtuosité formelle semble n'avoir rien à nous dire. »
Bends (Cannes 2013)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Bends (en salles le 15/07/2015)
Flora Lau
« De la maîtrise et une belle photographie de Christopher Doyle. Rien de plus. »
Between the Seasons (FFCP 2019)
Kim Junsik
« Un traitement sensible de son sujet et des comédiennes formidables mais des problèmes de rythme et une musique omniprésente qui réduit l'impact du film. »
Big Fish & Begonia (FCCF 2017)
Liang Xuan et Zhang Chun
« Romance, mythologie chinoise et force de la destinée s'entrecroisent dans un spectacle envoûtant et formellement somptueux qui transcende l'évidente influence Ghibli. »
« Influencé par Ghibli, Big Fish & Begonia parvient à se doter d'une identité propre et nous fait découvrir une mythologie chinoise teintée de romance. La révélation ! »
Birthday (FFCP 2019)
Lee Jong-un
« Touchant mélodrame sur le deuil, le film se repose un peu trop sur la force de ses acteurs et sur des procédés tire-larmes. L'effet cathartique est néanmoins efficace, pas un œil sec dans la salle. »
« Une grosse couche de pathos qui fonctionne assez bien, car la construction des personnages est tout à fait bonne. »
Black Coal (en salles le 11/06/2014)
Diao Yinan
« Mise en scène distanciée d'une froideur extrême qui efface, malheureusement, les personnages et l'attachement qu'on pouvait avoir pour eux. »
« Un film tentaculaire et glaçant. »
Black Stone (en salles le 27/07/2016)
Roh Gyeong-tae
Blade of the Immortal (Cannes 2017)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (Netflix)
Miike Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blade of the Immortal (PIFFF 2017)
Mikke Takashi
« Le meilleur Miike depuis 13 Assassins. En un mot : mortel ! »
Blind Detective (Cannes 2013)
Johnnie To
« De l'houmour cantonais bien lourd, mais bourré d'idées, ça fait toujours plaisir ! »
Blind Massage (Cannes 2014)
Lou Ye
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blind Massage (FCCF 2015)
« Un film sensoriel, voire sensuel. Une belle réussite. »
« Tout est dans le titre : des massages et des aveugles. Lou Ye est assez inspiré pour filmer les deux avec une mise en scène inventive quand il s'agit de traduire l'émoi des sens et la cécité. »
Blue Giant (en salles le 06/03/2024)
Tachikawa Yuzuru
« D'une efficacité remarquable, direct et droit au but, le film verse dans le mélo pour mieux servir l'émotion d'une musique sublimée par une animation virtuose. Hiromi Uehara fait du magnifique travail à la composition. »
« Esprit shonen à la sauce jazzy mélangée à un incroyable travail sensitif et d'abstraction pour exprimer la fièvre de l'euphorie musicale. »
« Le récit classique Seinen du manga original se retrouve ici magnifié par une mise en scène étourdissante et euphorique, pour un résultat aussi émouvant que généreux, à la passion musicale communicative. »
« Si on peut lui reprocher de ne pas bousculer le traditionnel récit de dépassement de soi à la japonaise, le film se révèle très généreux et son atmosphère jazzy s'avère particulièrement chaleureuse. »
« Sur un canevas classique de Nekketsu, le film décolle dans les scènes de jazz, véritable "solos" des animateurs, qui emportent le film bien au-delà de son programme initial font oublier la rigidité de l'intégration des effets numériques. »
Blue Summer (A Song Sung Blue) (en salles le 20/03/2024)
De Geng Zihan
« 2 films en un se côtoient : l'adaptation narrative du manga, déclinant les étapes standard du shônen, et une véritable ode au jazz qui essore, jusqu'à la moelle, les facultés plastiques du japanime d'en sourdre la liberté profonde. »
« Malgré une jolie photo et une héroïne attachante, un coming of age lesbien trop timoré et prévisible. »
« Film délicat et feutré sur la découverte de l'amour et le rapport à l'adolescence. La plastique de l'image est de très haut niveau. »
Broken (FFCP 2014)
Lee Jeong-ho
« Un scénario typiquement coréen qui mêle viol et vengeance. Pour autant, Broken est plus fin qu'il n'y paraît et pose de nombreuses questions aux spectateurs. »
Brotherhood of Blades (FCCF 2015)
Lu Yang
Ça tourne à Séoul ! Cobweb (en salles le 08/11/2023)
Kim Jee-Woon
« Je trouve le faux film dans le film meilleur que le vrai. »
« Kim Jee-woon témoigne, une fois de plus, de son talent de grand formaliste. Et même s'il rate à plusieurs reprises l'occasion d'explorer en profondeur ses sujets, il réussit son jeu de chausse-trappe pirandellien pour témoigner des puissances politiques du cinéma. »
« "La Nuit américaine" façon coréenne à l'aune des spécificités sociales, culturelles et politiques du pays servie par une mise en scène virtuose et un casting survitaminé. »
« Kim Jee-Woon n’a rien a prouver derrière la caméra et livre un divertissement drôle et rythmé. Dommage que le scenario peine à traiter toutes les passionnantes pistes narratives qu’offre le sujet »
« Une tournage qui tourne au drame dans une comédie qui patauge. »
« Une remise en question salutaire pour Kim Jee-woon après sa catastrophique version de Jin-Roh. »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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